J’ai arrêté le ski il y a quelques années. Enfin… j’ai fais du ski de fond, une fois, l’an dernier… Mais bon, je ne suis pas un fan de ski de piste. A la fois dans la pratique et, surtout, dans tout ce qui l’entoure.
Car, en France, ski, ça veut dire beaucoup de dommages collatéraux.
Pour se cultiver là dessus, voici 2 ressources.
-Dans cet article, on apprendra que les skieurs sont des cibles de choix pour les publicités de voitures. Et oui, en France, on ne peut pas souvent aller en ski en train (A la différence de la Suisse, par exemple, où ce style de possibilité existe tout à fait) et les skis, ça prend de la place et il faut monter jusqu’au stations… Pas beaucoup de petits modèles sur les parking… Sans compter que le prix des forfaits est une sélection considérable qui filtre qui n’aurait pas les moyens d’une berline. Ajoutons à cela que le consommat…euh…le skieur est parqué et guidée sur des itinéraires dont il ne peut sortir et que l’on peut baliser de publicité et vous avez la situation de rêve pour les publicitaires… Je suis monté en station cet hiver pour la première fois depuis plusieurs année, j’ai été abasourdi par l’ambiance de centre commercial qu’il y régnait… Musique, magasin, publicités de toutes taille et à tout endroit… Bienvenu dans les Disneylands de la neige
-Dans cette émission, on en apprendra plus sur la neige artificielle (que l’on veillera à ne pas nommer neige de culture) et pourquoi les stations, de plus en plus privatisées, sont prises dans un piège abscons dont il ne leur sera pas facile de sortir. Endettement, immobilier, accaparement des ressources en eau, la neige est de moins en moins blanche…
On attendra l’été pour profiter de la montagne. En marchant.