Yann Arthus-Bijoux

C’est en lisant cet article, indiquant que l’entreprise de luxe Hermès rentre au capital du Joailler Arthus-Bertrand que je me suis demandé s’il y avait un lien entre ledit joailler et l’hélicologiste à compensation carbone, le très désengageant Yann Arthus-Bertrand. En effet, il n’en est pas fait mention dans l’article et pourtant un tel patronyme ne me parait pas si courant…

Direction mon ami Wikipedia et…

Bah oui.

Doit-on alors s’étonner de son discours qui contribue essentiellement à désengager les citoyen? Doit-on y voir une des raisons pour lesquelles il est largement financé par des affairistes, banquier et autre multinationales?

Et pourquoi le Monde ne donne pas cette information, au moins aussi éclairante sur le fonctionnement de la société que celle d’un géant du luxe qui croque une entreprise familiale?

2 réflexions au sujet de “Yann Arthus-Bijoux”

  1. Effectivement, il s’agit de la même famille… mais rien d’autre…. YAB n’a rien à voir avec l’entreprise de joaillerie Arthus Bertrand, dirigée jusqu’à présent par son cousin. Alors de grâce, arrêtez de tout mélanger et de tirer des conclusions hâtives !

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    • Bonjour!

      En premier lieu sur la forme, je me suis abstenu de tirer une conclusion puisque l’article se termine sur des questions. 🙂

      Ensuite, il me semble que les liens familiaux soient des liens suffisamment conséquents pour mériter d’être médiatisés. De la même manière qu’il me parait utile de savoir que l’actrice Salma Hayek est l’épouse de François-Henri Pinault, PDG de PPR ou encore que Serge Moscovici et Pierre Moscovici sont père et fils. Cet exemple montre d’ailleurs qu’on peut, et heureusement, être de la même lignée en ayant des idées différentes. Mais dire d’une personne qu’elle n’a rien à voir avec une entreprise familiale bicentenaire, de luxe qui plus est, me parait à l’inverse un brin optimiste…
      C’est peut-être une conclusion hâtive…

      Restent alors les faits : Yann Arthus-Bertrand tire des financements de multinationales tout en dénonçant les conséquences des pratiques qui leur permet de gagner cet argent. Ou à l’inverse, des firmes financent YAB sans vraiment rien changer à leurs pratiques. Ce que je juge contradictoire. Voire contre-productif. Il y a donc des raisons à trouver à ce paradoxe. Auriez-vous d’autres pistes à proposer pour cela que la fidélité sous-jacente de YAB à des valeurs incompatibles avec son message de premier degré?

      Et pour le décorticage du discours de YAB, son fonctionnement (bien malgré lui j’espère…) de fusible écologique, ses tenants et aboutissant, je ne m’étalerai pas là dessus maintenant car cela prendrais des pages. Dans un prochain article, cela pourrait être une bonne idée…

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